Comme à chaque séisme économique, les forces de la finance et des multinationales utilisent cette conjoncture pour détruire ce qui reste de droits et acquis sociaux, et renforcer leur domination. En Europe comme ailleurs, les gouvernements et les forces politiques, avec l’assentiment d’une partie des forces syndicales, convertis à la loi du profit et à la concurrence « libre et non faussée », infligent depuis des décennies, des régressions sociales toujours plus radicales, transfert sur les citoyen-nes les coûts des crises du capital, sapent les fondements des protections sociales et des services publics, et dénient le danger écologique généré par le productivisme.
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il est 11 h 48
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