Le 1er octobre dernier le tribunal correctionnel de Paris a rendu son jugement dans le procès dit « des affaires de la CCAS ». Treize personnes physiques et morales, sur les seize mises en examen, ont été condamnées à des peines d’amendes et/ou de prison avec sursis. Trois personnes physiques ont été relaxées. Par ce jugement, le tribunal a affirmé que la CCAS, c’est-à-dire les électriciens et gaziers auxquels les activités sociales appartiennent, a subi un important préjudice moral et financier. La CCAS ne sera pourtant jamais indemnisée. Malgré sa qualité de victime maintenant clairement identifiée par la justice, les dirigeants de la CCAS continuent à estimer qu’elle n’a été victime de rien.
octobre dernier le tribunal correctionnel de Paris a rendu son jugement dans le procès dit « des affaires de la CCAS ». Treize personnes physiques et morales, sur les seize mises en examen, ont été condamnées à des peines d’amendes et/ou de prison avec sursis. Trois personnes physiques ont été relaxées. Par ce jugement, le tribunal a affirmé que la CCAS, c’est-à-dire les électriciens et gaziers auxquels les activités sociales appartiennent, a subi un important préjudice moral et financier. La CCAS ne sera pourtant jamais indemnisée. Malgré sa qualité de victime maintenant clairement identifiée par la justice, les dirigeants de la CCAS continuent à estimer qu’elle n’a été victime de rien.
