Alors qu’un nouveau scandale de détournement massif des ressources publiques vient d’éclater au travers des « paradise papers », les attaques du gouvernement du président « des riches » n’oublient rien ni personne. Réforme du code du travail laminant les droits des salarié-es, réforme de l’assurance chômage faisant craindre le pire contrôle des chômeurs et la baisse des allocations, réforme à venir des retraites.
Pendant ce temps là, ce même gouvernement attaque les recettes des budgets publics (suppression de l’impôt sur la fortune, baisse du taux d’impôt sur les sociétés, refus d’une taxe sur les transactions financières…), annonce de nouvelles privatisations de services publics et abandons de missions.